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 Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer.

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Sarabeth R. Adams
Sarabeth R. Adams



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MessageSujet: Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer.   Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer. EmptySam 12 Juil - 10:57

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Laissez moi vous raconter une histoire sur Sarabeth Rebecca Adams , notre suspect du moment. Né(e) le 5 avril 1989 à Washington, il est donc âgé de  25 ans. Dans la vie, il s'occupe en étant avocate. Il est actuellement une flamboyante célibataire et montre des préférences hétérosexuelle. Pour finir, il a avoué lors de l'interrogatoire que son chiffre favori était le cinq ,qu'on lui avait déjà dit qu'il ressemblait à Emilia Clarke et allait rejoindre les Bishop.
Sarabeth est un peu comme votre gri-gri fétiche inexplicablement essentiel, votre pièce porte-bonheur : un claquement de doigts, et le sort décidera quelle face sera celle qui, au final, apparaîtra au creux de votre paume.

Pile, celle que vous apprécierez le plus, sans nul doute. Fille de bonne famille n’ayant jamais manqué de rien, elle est l’exemple-même de ce qu’une existence facilitée par une cuiller en argent flirtant avec ses lèvres dès la plus tendre enfance peut produire de meilleur, de plus gracieux. Nul fardeau, nul drame pour alourdir ses délicates épaules : la cadette de la famille Adams vous charmera par son caractère à proprement parler rayonnant. Souriante, à la bonne humeur communicative, c’est une amie fidèle, une fille parfaite, bref, l’enfant pour laquelle bien des parents se damneraient, ce dont son père tire d’ailleurs une certaine fierté. La jeunesse lui confère une énergie débordante, agréablement différente de ce qu’on aurait pu penser d’une demoiselle fille de Secrétaire d’Etat. Les caprices de star et l’oisiveté, très peu pour elle, Sarabeth aime bouger, avoir quelque chose à faire, et vous ne vous ennuierez pas en sa compagnie, puisqu’il suffit de croiser son regard pétillant pour recommencer à voir la vie du bon côté. Loin de considérer l’univers à ses pieds, l’avocate reste terre-à-terre, alliant l’élégance d’une femme féminine appréciant prendre de soin d’elle pour toujours paraître sous son meilleur jour, et celle d’une citadine enjouée ne refusant jamais de se détendre devant une bonne comédie, ou avec une petite touche d’humour. Le seul défaut que l’on pourrait éventuellement apporter à ce portrait que certains jugeraient purement et simplement trop beau pour être vrai consiste en un plaisir coupable que se permet régulièrement la washingtonienne, celui de faire les magasins les plus prestigieux de la capitale, poussant parfois jusqu’à New-York pour céder à l’appel irrésistible des tailleurs, robes et autres chaussures à talons signés Dior, Chanel, Elie Saab. Des vêtements distingués et confortables, et bien sûr de quoi illuminer galas et réceptions officielles, autant de centaines de dollars débités par sa carte de crédit que la belle avoue du bout des lèvres, comme une petite fille faisant acte de contrition sans ressentir aucun regret. Au fond, on n’a comme option que de lui pardonner, tant lui en vouloir relèverait d’une mauvaise volonté assumée.

Et puis… Il y a le côté face. La pièce a tournoyé longtemps avant de révéler cette part peut-être plus sombre de ce charmant feu follet –enfin, question de point de vue. La chose à ne pas perdre de vue, c’est que Sarabeth est fille de politicien, et future politicienne elle-même. Nous n’irons pas jusqu’à dire que tout ce que nous vous avons dépeint précédemment n’est que poudre aux yeux, masque bien sous tous rapport apposé sur un être fondamentalement différent, au point de flirter avec une schizophrénie des plus condamnables, aussi trompeur qu’un cruel mirage. Non, elle est et demeure quelqu’un de bien… Mais professionnellement, quand les intérêts de sa faille et de la Nation entrent en jeu, la miss revêt un sérieux volontaire laissant à penser qu’elle ira loin, au moins aussi loin que son père. Son élégance, sa grâce, tout se teinte d’une détermination sans faille que certainement ont possédée les grandes dames ayant marqué l’Histoire de ce pays. Fine psychologue, la brunette jauge d'ailleurs plutôt aisément les gens, et consciente de qui elle a affaire, sait quelle attitude adopter, et comment mener la discussion. Ambassadrice idéale des Adams, Sarabeth a tout appris de son paternel, son héros, et compte bien lui faire honneur, parfaite copie adoucie de l’homme de pouvoir qu’est, incontestablement, James Adams. Aller haut ne lui fait pas peur, pas plus que d’avoir à se frotter aux requins de Washington : c’est que la brunette en a dans le crâne, et apprend vite ; quoi qu’elle n’ait pas encore atteint le niveau de son géniteur, ne la sous-estimez pas, et ne cherchez pas à la couler, car elle se souviendrait de la crasse que vous lui auriez fait, encaissée avec un patient sourire, et vous retournerait la pareille avec tout autant de bonhomie. Telle est la règle du jeu… À croire que ce don s’est transmis de James à elle, chromosome fait d’habilité, de savoir-paraître, et d’une force qui, chez la jeune femme palpite toujours, mais cette fois dédiée aux projet portés par M. Adams, faits siens. Dieu merci, Washington ne l’a pas –encore ?- corrompue, si bien que c’est avec la plus grande sincérité que Sara vous parlera de la situation actuelle, plus que critique, et de la certitude qu’elle possède au plus profond de son cœur que les dirigeants en place ne peuvent assurer la sécurité de la population. Il faut une personnalité forte, quelqu’un comme son père. Quelqu’un comme elle, fidèle avec ses idéaux, mais avec une poigne suffisante pour tenir la première puissance mondiale. Assurément, Beth n’est pas une personne à perdre de vue, quel que soit le jour sous lequel elle se montre.
Ce qui est bien avec un prénom comme le sien, c'est que chaque moitié donne un diminutif : vous pourrez la surnommer Sara, Beth, ou même Rebb', raccourci sonnant masculin presque exclusivement réservé à son père Initiée quand elle était petite à la danse classique, Sarabeth a rapidement préféré les danses de salon, qu'elle adore toujours pratiquer Le seul autre sport qu'elle pratique consiste à frapper à la batte de baseball, face à une machine envoyant balle sur balle. Un moyen agréable de prendre l'air, et de rencontrer du monde sans chichis Pour ses douze ans, elle a demandé l'intégrale de l'Histoire américaine, publiée en volumes de 600 pages chacun Beth n'a pas d'animaux de compagnie, étant trop occupée pour en prendre soin, et ne voulant pas déléguer cette tâche à un employé de maison. Mais si elle en possédait, Sara prendrait un golden retriever nommé Jefferson, ou un jeune chat entièrement noir baptisé Leonidas Détentrice de son permis de port d'armes, cela fait pourtant longtemps que Rebb' n'a pas tiré, n'ayant plus tant le temps que ça -ni trop le goût d'ailleurs- pour le sparties de chasse en compagnie de James Adams Elle sort rarement sans ses deux gardes du corps, bien qu'elle vive seule La demoiselle loge dans un luxueux immeuble où les appartements font pratiquement un étage chacun, et où la sécurité justifie  un loyer pour le moins exorbitant La jeune femme avait pour ainsi dire un poste dès sa sortie de l'école, débutant dans le cabinet que tenait son père avant d'entrer à la Maison Blanche. Si elle n'est pas passée directement chef de cabinet, ce qui aurait été mal vu, Sarabeth est cependant dans les faits sa propre patronne, choisissant ses affaires, et influant sur la politique du cabinet tout autant qu'un collaborateur de longue date. Il n'est pas exclus que d'ici deux ou trois ans, elle en reprenne d'ailleurs les rênes, se donnant ainsi une solide assise professionnelle pour par la suite se lancer en politique Cependant, son souhait serait d'être la directrice de campagne de son père, ce dont elle ne lui a pas encore vraiment parlé La belle n'a jamais vraiment connu de réelle histoire d'amour, aimant se savoir désirée, mais consciente que ces messieurs en veulent plus souvent à son argent et à sa position sociale qu'à autre chose. Ses quelques aventures, plus que discrètes et contrôlées à 100%, n'ont jamais duré plus que quelques semaines, soldées par des séparations à l'amiable n'ayant jamais entamé son coeur, ni sa certitude de ne pas avoir besoin pour le moment d'une relation longue durée. L'homme de sa vie reste son père, son modèle, son héros, son compagnon d'armes, qui de toute façon ne laissera pas sa fille s'engager avec n'importe qui.
Quel est votre sentiment face au chiffre neuf ? ... Jusqu'aux dernières nouvelles, il était après le huit, et avant le dix. Que voulez-vous que je vous dise ? Des illuminés ont dû le prendre pour symbole, en hommage à la dernière symphonie achevée de Beethoven, je ne sais pas moi, et se dire que ce serait pas mal de suivre un schéma meurtrier basé dessus.
En quoi votre quotidien est-il impacté par la situation actuelle?  C'est le moment ou jamais, celui où montrer que de l'époue la plus sombre peut émerger les bases d'un système nouveau, plus performant. Il n'est bien sûr pas question de se réjouir des catastrophes ayant frappé Washington, mais voilà l'occasion pour mon père de faire entendre sa voix, de changer les choses et de montrer que le Gouvernement est encore capable de protéger ses concitoyens.
Quel est votre opinion sur la manière dont les politiciens et les instances judiciaires gèrent la crise ?  Justement, on a rarement vu tant d'incompétence. Au lieu de tergiverser et d'hésiter à prendre telle ou telle décision, il faut agir, promptement ! Seul mon père en semble capable, et je l'appuie totalement dans ses démarches.
Ce que je voudrais être ?  Un mélange entre Grace de Monaco pour l'allure, et d'Hilary Clinton - la réssuite à la présidence en plus, évidemment.
Ce que je déteste par-dessus tout ?  Qu'on me prenne pour une bimbo, une fille à papa, une écervelée juste bonne à épouser un homme de pouvoir.
Quel serait mon plus grand malheur ?  Perdre ma famille, décevoir mon père. Je me sens indépendante et apte à voler de mes propres ailes, mais ils sont mon hâvre de -relative- paix, ceux qui ne me trahiront jamais et m'aimeront toujours ; ce qui est réciproque. Même si bon sang, ce que Thomas peut être exaspérant parfois...
Comment j'aimerais mourir ?  De ma belle mort, au cours d'une retraite bien méritée après un ou deux mandats à la Maison Blanche ? ça ne coûte rien de rêver.



Dernière édition par Sarabeth R. Adams le Sam 25 Oct - 9:28, édité 9 fois
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Sarabeth R. Adams
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MessageSujet: Re: Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer.   Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer. EmptySam 12 Juil - 11:02

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Women who seek to be equal with men lack ambition ◊

Les coulisses sont toujours plus sombres que le plateau. Ça a l’air d’une évidence implacable, dit comme ça, mais lorsqu’on s’y trouve bel et bien, le regard fixé sur le siège qui a plusieurs pas de là n’attend que vous, nimbé de l’attention pointue du public applaudissant sur commande, l’obscurité vous paraît soudain bien pesante, et la lumière des projecteurs des plus attirantes. C’était sans doute pourquoi la plupart des candidats de jeu télévisé faisait leurs premiers pas devant les caméras avec un air de nouveau-né hésitant, bafouillant leur prénom avant de laisser l’animateur prendre les choses en main. Un bref sourire de compassion glissa sur ses lèvres impeccablement dessinées au rouge à lèvres : elle, elle avait l’habitude. En connaissant les codes, l’on parvenait même à y prendre du plaisir, un sincère amusement. Malicieusement, la dernière des Adams se demanda quelles questions inédites pourrait bien lui poser Sheila, présentatrice ayant donné son nom au dernier talk-show à la mode, simplement baptisé le Sheila Green’s Show. Après tout, Wikipédia comme IMDb avaient déjà publié l’essentiel aux yeux du monde.

Sarabeth Rebecca Adams, 5 avril 1989, Washington DC, Etats-Unis d’Amérique. Voilà le minimum syndical, ce par quoi tout bon site sur les personnalités montantes américaines ou journal people se devait de commencer, pour répondre à cette question pleine de suspense : « mais qui est donc Sarabeth Adams ? ». Déjà, apparemment, une femme pour laquelle ses parents avaient eu du mal à se mettre d’accord quant au prénom ; oui, d’accord, la blague est facile. Pour pousser un peu plus loin, l’on pourrait même ajouter, aux vues de son mois de naissance, qu’elle fait fièrement partie des Béliers –puis tenter d’alléger l’atmosphère avec un ou deux traits d’esprit ralliant ou non la demoiselle avec les caractéristiques comportementales de son Signe-, ou que ses parents sont James et Ellen Adams. Cependant, ne débutons pas d’entrée de jeu avec ses illustres parents ; nous sommes ici pour parler d’elle, et seulement d’elle, bien qu’évidemment, il nous faille évoquer au cours de notre portrait les autres membres de cette puissante famille, dont les trajectoires sont intimement liées à la sienne.

Pour reprendre là où nous nous étions arrêtés, oui, Sarabeth naquit à Washington, dans une élégante clinique privée où avait également vu le jour, un an avant elle, son frère aîné Thomas, et reçut comme lui les beaux yeux bleus clairs d’Ellen, et de James une chevelure châtain. L’accouchement se déroula sans incident, si ce n’est peut-être le mariage malheureux de sa mère, mais enfin, cela ne datait pas d’hier, et la petite n’avait rien à voir là-dedans. Au fond, il n’y avait rien de plus à dire : vous ne trouverez aucun drame, aucun traumatisme dans le passé de Sarabeth. Sa vie paraît idéale, même elle vous le dira, alors ne vous attendez pas à un quelconque suspense, ou à de grands moments d’émotion. Vous allez vraiment vous ennuyer, vous êtes prévenus.

À la luxueuse maternité succéda le non moins luxueuse résidence des Adams, où le bébé fut installé peu de temps après sa naissance, et dès la première seconde, une armada de nurses et autres domestiques s’empressa de lui simplifier une existence déjà fort commode, grâce à la fortune de James Adams. Ellen ne put bien évidemment pas vraiment s’occuper de son bébé, comme l’exigeait la tradition dans les grandes familles, contrainte de ne participer à la petite enfance de son unique fille qu’au rang d’observatrice extérieure. Fut-ce plus dur à accepter, compte-tenu du fait qu’avec Thomas, elle avait découvert qu’une fois encore, sa vie de famille rimait avec prison dorée n’ayant de parfait que l’apparence ? Ça, il faudra le demander à Ellen, qui comme nous le disions n’est pas le sujet principal de ces lignes. La première photo officielle où elle figurait data de ses deux ans, un beau portrait de toute la famille étendue dans l’herbe, en tenue du dimanche : dans sa petite robe blanche en dentelle vaporeuse, l’angelot aux boucles brunes participait avec talent à cette représentation clichée du foyer américain parfait –photo qui fit la une du Vanity Fair, tout de même.  D’entrée de jeu donc, le luxe, la « grande vie » comme disent ceux qui rêvent du quotidien qui serait celui de la demoiselle comme on prie une étoile lointaine, sans espoir de réponse. Le ton était donné, le cadre posé, et quand les années d’innocente inconscience du cercle familial et de ses règles prirent fin, Sarabeth se coula dans le moule sans mal, ne s’accrochant pas dérisoirement à ses bonnes comme si celles-ci faisaient effectivement partie des siens, comme des secondes mamans. Là où son frère aîné se révélait si discret et renfermé, elle multipliait les sourires, enfant lumineuse sachant réserver son amour pour les siens, et se montrer respectueusement polie avec le personnel, sans plus. Et si Ellen devint peu à peu l’univers de son garçon, grâce aux Arts, James fit pratiquement de même avec sa benjamine, utilisant le merveilleux sortilège qu’est l’Histoire. Comme n’importe quel bambin, Sarabeth, n’atteignant même pas encore les neuf ans, buvaient littéralement les récits de son père, sur ses genoux ou encore confortablement installée dans son lit, ce qui jeta d’ailleurs je pense les bases de ce merveilleux lien père-fille que partagent les deux Adams, semblerait-il depuis toujours. Il fallait dire que Sara facilitait vraiment les choses : douce et attentive, de bonne volonté et très bien éduquée, elle respectait ce qu’on lui demandait, et entrait parfaitement dans le moule choisi d’avance par son père, telle une pâte malléable. Dès le départ, l’on peut dire que chacun des membres de la fratrie prenait une trajectoire opposé, l’un souffrant en silence tandis que l’autre se métamorphosait en la parfaite poupée, marionnette entre les doigts d’un géniteur qui savait de toute façon ce qui était le mieux pour sa fille, sa princesse, sa solution de substitution effaçant un peu la déception que représentait Thomas. Pourtant, il n’y eut jamais de friction ou de compétition entre Beth et son frère : la parfaite cadette se montrait aussi aimante avec lui qu’avec ses parents, quoi que de façon discrète, sentant instinctivement qu’elle n’était pas la bienvenue derrière la carapace que se construisait Thomas, et dont nul membre de l’Humanité excepté leur mère n’avait le sésame. Lui faire comprendre qu’elle était là pour lui s’il en éprouvait le besoin, telle était son angle d’attaque, qui d’instinctif devint vraiment conscient au fur et à mesure de la fuite des ans.

C’est que le temps passe vie, figurez-vous. Et celui de la paisible vie dans le giron familial touchait à sa fin. Il était temps de débuter le collège, cette fois en internat, un changement tout de même après une école privée huppée où un garde du corps aussi grand qu’une montagne l’accompagnait puis venait la chercher en SUV noir matin et soir. Là, il n’était plus question que de ne rentrer que les week-ends, bouleversement s’il en est qui fut globalement vécu sans anicroche, après un bref temps d’adaptation. Sarabeth découvrait enfin le « vrai » monde, celui sur lequel James Adams n’avait pas d’influence réellement palpable, et n’en devint que plus ouverte, que plus agréable, là encore à l’inverse de Thomas, dont l’attitude se dégradait à une vitesse vertigineuse. Bonne élève dans le sens où elle suivait religieusement les cours sans pour autant obtenir des résultats aussi exceptionnels que ceux de son frère, la jeune fille passait parmi ses camarades pour quelqu’un de sympathique, vous détendant de suite si vous aviez le courage de vous adresser à la progéniture d’une Secrétaire d’Etat. Le lycée ne fut qu’un prolongement comparable, tout aussi marqué par la relative indépendance de la miss : la maison ne lui manquait pas viscéralement, mais son père demeurait toujours son phare, auprès duquel chercher une éternelle approbation acquise sans mal. Et puis apprendre demeurait un plaisir, dans un cadre favorisé où la belle se sentait parfaitement à l’aise, toujours prête à aider un camarade, ou encore à intégrer à la promotion les étudiants étrangers, au premier rang desquels les enfants d’ambassadeurs, tout cela concourant à lui donner le rôle de la fille enjouée mais pas démesurément populaire, serviable sans être lèche-botte, affirmée tout en évitant le piège de la tour d’ivoire imprenable. Ne la cherchez ni du côté des cheerleaders affectées, des rats de bibliothèque ou des fêtardes invétérées, Beth avait décidé de ne garder que le meilleur de chaque stéréotype, bossant ainsi raisonnablement ses examens, déclinant avec charme les avances des quarterbacks pour lesquels elle ne jouerait certainement les jolies choses à accrocher à leur bras le soir du bal de promo. Sincérité ou personnage joué avec brio ? Après tout, être dans les petits papiers des « fils et filles de » ne pourrait que se révéler utile, à plus ou moins longue échéance. Et puis la belle ne suivait-elle pas plus que jamais les traces de son géniteur, en s’orientant vers le droit ? Ne collait-elle pas plus que jamais à ce que désirait avoir James Adams pour descendance, ce qui creusait encore plus le fossé entre la brunette et son frère, toujours aux prises avec sa descente aux enfers ? Oh Thomas, ce cher Thomas… Il n’était plus qu’une rumeur, qu’un fantôme que sa cadette ne croisait que par hasard, peu avant qu’il ne s’en aille en claquant la porte, comme à chaque fois. La presse commençait à découvrir le filon, et Sarabeth la fatigue d’avoir à recoller les morceaux à la maison, entre sa mère dépassée et son père à bout de nerf. On ne peut dire qu’elle lui en voulait, ou qu’elle avait cessé de l’aimer : ok, il avait des problèmes, et le caractère pour le moins buté du chef de famille n’arrangeait pas les choses. Mais alors pourquoi en rajouter, et percer encore plus de trous dans sa barque d’ores et déjà en train de prendre l’eau ? Sur le point de rentrer à l’université, Sarabeth se sentait tellement plus adulte que lui, pourtant d’un an plus âgé, et autrement plus brillant qu’elle dans ses études. Quelle perdition pouvait valoir d’ainsi gâcher un aussi grand potentiel ? Cela la dépassait, et dépasse encore, quoi que leur lien de sang résistât aux prises de bec et aux soupirs d’exaspération modérée par, tout au fond du cœur de Sara, un amour fraternel encore là, et une inquiétude bien naturelle, que son côté sérieux directement hérité de James, avec en plus une touche personnelle de retenue et de pudeur, rendait insupportable à Thomas.

Princeton lui ouvrit ses portes, et là encore, certaines mauvaises langues y virent une démonstration de plus de l’influence des Adams, car comment justifier autrement qu’une si illustre institution ait accepté une étudiante aux résultats moyens ? Assurément, le corps enseignant n’avait pu refuser ce dossier particulièrement mis en valeur par un doyen prolixe en remarques élogieuses, lui-même poussé par une amitié intéressée le liant à Adams père ; vous savez, dans le pur style de films policiers où le caïd le plus puissant de la ville fait jouer ses relations en usant et abusant de menaces à demie formulées lorsque ses interlocuteurs faisaient mine de lui résister. Désolée cependant de vous décevoir, aussi séduisante que puisse être cette théorie, elle demeurait une théorie, à moins que l’un d’entre vous en détienne la preuve irréfutable. Un généreux don de Adams & Associates suivit de peu l’entrée de Sara à Princeton, voilà, rien d’illégal ou d’outrageant. Tout ce qui reste certain, c’est que ce fut à cette époque que Sarabeth connut ses premiers petits amis, et sa capacité à se montrer sincère sans se mettre en danger. Rien ne durait vraiment, et jamais Ellen Adams n’eut à rester au bout du fil toute la nuit pour calmer une crise de larmes déclenchée par une rupture indésirée. De toute manière, Rebb’ n’était pas dupe : d’une, son nom de famille autant que sa silhouette élancée lui attirait pour une bonne part les prétendants se présentant à elle ; un tri logique s’opérait donc, éliminant d’office les hypocrites ainsi que les infidèles chroniques. Et de deux, quant aux autres, inutile de planifier une love story d’une vie entière, puisque son père toujours aussi protecteur jouait avec brio les papas poules tout à fait prêt à hacher menu le moindre insolent ayant l’audace de toucher sa fille. Les histoires au grand jour seraient pour plus tard, quand cela servirait leur image, et quelque part, Sarabeth savait que ces romances seraient décidées pour elle, avec des hommes qu’elle n’aurait pas forcément choisis. Pour le moment en tout cas, cela lui convenait, et lui convient encore aujourd’hui, où sa carrière d’avocate bat son plein au sein de l’ancien cabinet de son père. La presse fait son éloge, encore discrète car James et elle attende le bon moment pour définitivement la lancer dans le monde politique, idéalement peu après l’annonce de la candidature d’Adams à la présidence. Petite fille chérie de l’Amérique en devenir, Sarabeth joue à la perfection son rôle, se payant même le luxe d’être sincère, et n’attend qu’une chose, sortir complètement de l’ombre pour briller de mille feux sous les projecteurs.

C’est d’ailleurs ce qu’elle fait, présentement. Avec un sourire quelque peu crispé par le botox, Sheila Green la salue puis la remercie vivement d’avoir accepté son invitation. Bien droite dans son fauteuil de cuir à la couleur admirablement bien accordée aux tons du reste du décor, jambes sagement croisées façon Jackie Kennedy, Sarabeth réplique avec un sourire élégant, où perce encore une touche de spontanéité adolescente, consciente de faire grimper l’audimat tout en se sentant parfaitement honnête envers elle-même. Voyons, tout le plaisir s’avère pour elle, Sheila. Elle est une grande fan de l’émission, d’ailleurs. Et en retrouve avec émotion le public…



DERRIERE L'ECRAN

Hey moi c'est Marie j'ai 20 ans je vous ai trouvé Facebook  et je pense que le design est vraiment incroyable, hâte de voir le forum gagner en activité  **. J'ai bien lu le réglement je sais que vous aimez les Salamis  lechouille (oui c'était nul *pan*).
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Dernière édition par Sarabeth R. Adams le Sam 25 Oct - 9:32, édité 5 fois
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Jacob A. Rivers
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MessageSujet: Re: Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer.   Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer. EmptySam 12 Juil - 11:03

Emilia est sublime *-*

Bienvenue parmi nous!
Et j'ai peut être des idées de lien haha Very Happy
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Thomas J. Adams
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MessageSujet: Re: Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer.   Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer. EmptySam 12 Juil - 11:06

Ma soeur qu'elle est trop belle parce qu'on est des bombes sexuelles dans la famillle *_*
Enfin bienvenue sur le forum, et surtout merci merci d'avoir pris un de mes scénarios, si tu as la moindre question n'hésite surtout pas, je reste disponible (aa)
Il va plus rester que Popa, et la famille va être au complet mouahaha  Evil 
Bon courage pour ta fifiche I love you

Jacob, file dans ta chambre >>>
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Samuel Walker
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MessageSujet: Re: Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer.   Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer. EmptySam 12 Juil - 11:08

ooh la soeur Adams comme tu es belle  brille brille brille brille brille brille 
a en juger par ton statu amoureux t'as l'air d'avoir le sale caractere de ton frère tiens *sort avant de se faire taper xD*

En tout cas bienvenue à toi et merci bcp pour les compliments ça me touche  Embarassed Embarassed Embarassed 
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Sarabeth R. Adams
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MessageSujet: Re: Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer.   Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer. EmptySam 12 Juil - 21:25

Merci les garçons, c'est très gentil à vous  brille 

Avec plaisir ce lien Jacob ! Et puis oui, il faut bien avouer Jacob que tu n'as pas tellement tort... C'est ce qui fait notre charme dans la famille, on est une cuvée unique  Very Happy 

Je t'en prie Thomas, c'est un plaisir, merci d'avoir proposé le scénario surtout ! J'espère que ma version te conviendra, j'ai bon espoir de finir ma fiche ce week-end Razz Et puis compte sur moi pour que la famille ne soit pas non plus complètement tranquille, malgré la perfection de la demoiselle  siffle 
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Thomas J. Adams
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MessageSujet: Re: Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer.   Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer. EmptySam 12 Juil - 23:46

Haha j'en attends pas moins d'une Adams  Cool en tous les cas, j'ai hâte de lire ce que tu vas nous en faire  Very Happy 
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Ellen M. Adams
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MessageSujet: Re: Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer.   Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer. EmptyDim 13 Juil - 14:57

MA FIIIIIIIIIIILLE !!!  cheers  cheers  cheers 
Bienvenue ma chérie ! En espérant que tu t'éclates ici autant que ton frère. Mais pas trop parce que je veille !
Bon courage pour ta fiche Wink
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Sarabeth R. Adams
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MessageSujet: Re: Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer.   Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer. EmptyLun 14 Juil - 15:28

Mamounette  love Ne t'inquiète pas, je suis sage moi ! Vivement que papa débarque, qu'on se fasse une réunion de clan Razz


Sinon niveau fiche, j'entame l'histoire, j'espère bien avancer ce soir et poster en début de semaine la version finale ❤️
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Thomas J. Adams
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MessageSujet: Re: Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer.   Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer. EmptyLun 14 Juil - 15:44

Thomas va se faire sa misère quand le père débarquera siffle

la cadette a écrit:
Même si bon sang, ce que Thomas peut être exaspérant parfois...

Calomnie, il est mignon comme un petit chat siffle enfin j'aime beaucoup le début de ta fiche, et j'ai hâte de lire la suite haha j'adore la vision opposé du père par rapport aux deux enfants mdr chouchoute va
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Sarabeth R. Adams
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MessageSujet: Re: Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer.   Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer. EmptyMer 16 Juil - 12:49

ça me fait bien plaisir ! Héhé, c'est juste une question de talent frérot Razz
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Thomas J. Adams
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MessageSujet: Re: Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer.   Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer. EmptyMer 16 Juil - 16:07

 
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Félicitations tu es validé!

 

uhuh avant toute chose déjà, j'aime vraiment beaucoup ta plume  brille Ensuite j'adhères ce que tu as fait de la jeune femme, j'aime beaucoup même si je sens quelques tensions dans la fratrie parce que Thomas, il est jaloux, le vilain pas beau de la perfection de sa soeur lol ....Comme promis tu reçois ta paire de chaussons moelleux pour visiter le forum. Bienvenue à la maison! Tu peux commencer par aller poster [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et effectuer toutes les autres demande pour ton personnage dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. N'hésites pas à participer [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et aller poster dans les fiches des autres. Le staff est [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pour toutes questions.

A toi de jouer Invité


   
 
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MessageSujet: Re: Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer.   Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer. EmptyMer 16 Juil - 16:19

Merciii tout plein, j'suis super contente que ça te plaise  brille 

C'est de l'amour fraternel tout ça... Razz Elle râlouille et il boude, mais c'est leur façon de se le dire  siffle
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MessageSujet: Re: Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer.   Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer. EmptyMer 16 Juil - 16:30

Mais tellement Very Happy d'ailleurs il nous faudra un susu ma p'tite soeur adorée héhé
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Sarabeth R. Adams
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MessageSujet: Re: Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer.   Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer. EmptyMer 16 Juil - 16:48

Of course frérot ! On peut en papoter via mp si tu veux (même si le flood, ya que ça de vrai *ahem*)
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MessageSujet: Re: Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer.   Sarabeth ◊ you could be the King, but watch the Queen conquer. Empty

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